mercredi 15 octobre 2014

Challenge "Gourmand #2"



 
Voici un nouveau challenge, organisé par titepomme sur le site Livraddict, qui va réjouir la mordue de chocolat que je suis.
 

Le principe :
 
Lire, tout simplement, et au gré de nos lectures débusquer les aficionados du chocolat.
Pour gagner un point, il faudra signaler la phrase et le livre dans lequel nous l'avons trouvé. Un seul point ou une seule mention par livre.
Les albums, mangas, BD et ebooks comptent également. Par contre pas les livres de recettes !! ^_^ Mais le mot chocolat doit être nommé textuellement (en tant qu'aliment bien évidemment, la couleur ne compte pas).

Durée :

Du 1er novembre 2014 au 30 avril 2015.


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Vous trouverez ci-dessous mes lectures effectuées dans le
cadre de ce challenge, avec la phrase adéquate :



 

 
« Je vais me replier mollement sur moi-même, comme une poule en chocolat de Pâques oubliée sur la plage arrière d’une voiture garée en plein soleil. Je pique du bec et j’ai la crête qui dégouline sur mes œufs. Le résultat s’annonce moche car je suis pralinée. »
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 

 
« En plus du miel et des myrtilles, je vois Fergus sortir discrètement un petit paquet de Cadbury's Buttons - ce qui me semble peu indiqué pour le petit déjeuner. Il met les chocolats sur la table et pose la main dessus quand il surprend mon regard. »
 
 
 
  
 
 
  
   






« Il jubile dans les rayons en imaginant les yeux de Noé s’il pouvait le voir juxtaposer dans son Caddie une bouteille de deux litres de coca, du chocolat aux noisettes entières, du pâté, du roquefort, des petits pains fourrés à la myrtille. Du poulet rôti. Des barres énergétiques au caramel. Des sucettes orange vif qui piquent. »
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 

 
« Il termina sa dernière coupe de mousse au chocolat, ramena son plateau, et sortit du réfectoire. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  
 
 
« Dans leur chambre, Rook ouvrit les volets pour lui montrer la plus ancienne boulangerie de Paris sur le trottoir d’en face, promesse de croissants chauds et de pains au chocolat tous les matins. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
« L’arrivée de la serveuse qui apportait leurs desserts les interrompit. Charles Bossu avait opté pour une glace à trois parfums, alors que Lafarge avait choisi de déguster une mousse au chocolat servie dans une grande coupe en cristal. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
« Elle leur a dit qu’elle adorait les crêpes, et elle leur a prouvé qu’elle ne plaisantait pas. Elle a englouti deux Titanic (tartiflette-andouillette). Et les Titanic de Paquita ne sont pas des crêpes pour fillettes. Ensuite, comme elle hésitait entre une Perdition (banane-chocolat chaud-boule de vanille-speculoos) et une Possession (caramel-beurre salé-tatin de pommes-brisures de macarons), Paquita lui a demandé, impressionnée, en considérant son petit tour de taille en 34 prépubère :
– Où est-ce que tu mets tout ça ? »
 
 
   



« Chocolat : Grâce à lui – ou à cause de lui – je sais ce qu’éprouvent les toxicomanes : l’euphorie d’une consommation régulière, la dépendance qui s’installe, l’insupportable sensation de manque entre les boîtes de fin d’année et les œufs de Pâques…»

« Meubles : Le rêve serait qu’ils soient en chocolat et qu’entre les truffes de Noël et les œufs de Pâques on puisse les grignoter devant la télévision. Ainsi la gourmandise fournirait-elle un alibi au renouvellement périodique du décor intérieur. »



 
 
 
 
« Tout cela, c’est du chocolat ! Chaque goutte de cette rivière est du chocolat fondu, et du meilleur. Du chocolat de première qualité. Du chocolat, rien que du chocolat, de quoi remplir toutes les baignoires du pays ! Et aussi toutes les piscines ! N’est-ce pas magnifique ? Et regardez mes tuyaux ! Ils pompent le chocolat et le conduisent dans toutes les autres salles de l’usine ! Des milliers et des milliers de litres ! »
 
 
 
 
 



« L’ascenseur s’arrêta. Les portes s’ouvrirent et Charlie se trouva une fois de plus devant la salle au chocolat avec sa rivière de chocolat, et sa cascade de chocolat, dans laquelle tout, les arbres, les feuilles, les galets et même les rochers, pouvaient se manger. Des centaines et des centaines de minuscules Oompa-Loompas qui saluaient et applaudissaient, étaient venus les accueillir. C’était un spectacle à couper le souffle. »






« Il ne se passait pas de jours sans qu’elle lui témoignât son affection d’une manière ou d’une autre, lui cuisinant des mantecados, ses pâtisseries préférées, lui préparant pour le goûter une tasse de chocolat si épais qu’on y aurait planté une cuiller, mendiant sa compagnie avec des yeux avides, se précipitant dans la cuisine dès qu’elle l’entendait s’affairer, la maintenant au salon par des questions oiseuses, lui imputant des désirs qu’elle n’exprimait pas puis s’empressant de les combler, la choyant outrageusement par ces temps de privations, la gratifiant de chaussures à talons dernier modèle, de colliers de brillants et de toutes sortes de fanfreluches à usage féminin que Montse jetait dans le fond d’un placard d’où ils ne sortaient plus, surveillant d’une attention jalouse ses moindres émotions, quêtant ses compliments, lui faisant grief de sa réserve où elle croyait voir une forme de rejet… »


 
« Il existe un autre samedi, sans doute le dernier d’octobre, où malgré l’inexorable dérive qui nous emportait, la soirée se déroula très normalement, je dois préciser dans le calme de refrains à peine fredonnés du bout des lèvres, Thérèse n’ayant sorti pour le dîner que deux bouteilles de morgon, attentionnée à nous bien servir mais sans excès, dégustant notre pot-au-feu en gourmets – Lucien, les yeux plissés d’aise, à sourire de bonheur du calme de sa compagne qui le baignait dans une paix ponctuée de fugitifs baisers sur le front et la nuque, et de caresses au passage de ses plats –, jusqu’à l’arrivée triomphale de son délicat dessert de chocolat noir, glaces et fruits rouges, achetés, vu la saison, sur un coup de tête au marché de Pont-à-Marcq, animée du désir toujours de nous sortir de son chapeau des douceurs et des chatteries qu’elle ne disposait sur la table qu’une fois assurée de notre attente attentive, à l’instant d’une pause dans la conversation où nous pourrions alors mesurer toute l’importance de la surprise. »
 
 
 

« C’est mon nerf vagal, dis-je. Tout va bien. Je prendrais bien un morceau de sucre ou un carré de chocolat, quelque chose.  » 
 
 
 
 
 
 
 
 


 




« Le petit pain est gros. Elle a pris le format maxi. Triple barre de chocolat. Du sucre glace partout qui colle aux doigts. Mille six cents calories à lui tout seul. » (Un petit morceau de pain, Agnès Ledig).
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
« Il me servit un Coca sans bulles et se mit à déguster le chocolat avec la concentration recueillie d'un sommelier. Il ferma les yeux, gémit puis dévora la moitié de la boîte en moins de cinq minutes. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
« Elle a réussi à cacher qu’elle était enceinte en faisant semblant de se bourrer de chocolat pour faire croire qu’elle prenait simplement du poids. »
 
 
 
 
 
 





 
 
 



« Alors son valet de chambre lui apporta une tasse de chocolat sur un plateau. »
 
 
 
 
  
 
 
 
 




« D’une traite, elle commanda une baguette, deux pains au chocolat et deux carrés à la confiture. La boulangère la servit sans mot dire. »

















« Le menu s’achevait en apothéose, avec une douzaine de cookies « verts » aux pistaches, cardamome et chocolat blanc qu’elle venait de dresser. »
 
 
 
 
 
 






 
















 
« Will offrit à Mère une boîte de chocolats Whitman's Sampler. »











 
                                                                                        
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
« Dans l'intervalle, j'ai réussi à calmer Emily. Si elle tremble toujours, au moins elle ne pleure plus. Je lui ai donné du chocolat chaud et des biscuits, et je l'ai maintenue à l'écart de Lydia. »















« Viennoiseries "prêtes à réchauffer" et sachets de café, thé et, comble du bonheur, du chocolat. »



« Elle était si excitée que ses mots se bousculaient : il y a des gâteaux, des petites tourtes, des tartelettes à la confiture, des brioches, des oranges et un sirop à la groseille, et même des figues et du chocolat. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 






« Ouvrant les yeux, je découvris sur la table de chevet un plateau de petit déjeuner sur lequel fumait un bol de chocolat odorant près d’un croissant chaud et doré. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


« Elle commanda un café au lait qui lui sembla le meilleur qu'elle ait bu depuis très longtemps, et, avant de sortir, acheta des morceaux d'urrakin egina, le chocolat traditionnel d'Elizondo, élaboré de façon artisanale avec des amandes entières et auquel cette confiserie devait sa réputation. »









« Il vivait dans sa petite chambre et ses formules, au milieu d'un petit appartement où l'on mangeait à heures fixes, où une ombre vieillie, douce et aimable, vous disait à onze heures d'aller vous coucher et vous réveillait à sept heures pour prendre le chocolat du petit déjeuner, déjà fumant sur la table, avec deux tartines de pain beurré. »







 



« Les valets de pied entrèrent en poussant des tables roulantes chargées de délices qui allaient des traditionnels sandwichs au cresson ou au concombre aux scones accompagnés de crème et de confiture, en passant par d’autres sandwichs au bœuf ou au jambon, certainement en l’honneur des jeunes hommes, des gâteaux, des biscuits, des fraises enrobées de chocolat, des kippers, des œufs durs… »








 
 
   
  
 
 
« Les initiés auront bien entendu reconnu la lévitation de Balducci, une performance de magiciens de rue visuellement très surprenante mais plus fausse qu’une pièce de trois euros en chocolat. »









 







 








 
 
« On avait installé le moine dans un petit salon aux murs recouverts d'une tapisserie en soie peinte à la main, devant un chocolat bien mousseux qu'il contemplait d'un air perplexe. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


« Certaines denrées alimentaires vinrent à manquer. Nous ne jetions plus dans nos bouches ces carrés de chocolat qui régalaient parfois nos goûters. »














 
« Au plafond, pendaient des lustres de cristal qui jetaient mille feux sur une grande table couverte de mets délicats – surtout des desserts : tartes, gâteaux, glaces, etc. Avec une tonne de chantilly et de vermicelles en chocolat. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
« Frieda et Sandy empruntèrent la rue principale jusqu'au commissariat, pour s'apercevoir qu'il ne s'y trouvait plus. L'édifice en briques avait été reconverti et abritait désormais un office notarial, un café, ainsi qu'un magasin vendant des fleurs et du chocolat artisanal. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 



« Restons ici encore une petite demi-heure… Commande-moi un chocolat chaud ! »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  
 
 

 
 
« Descendu de cheval, Fox s'empresse de contrôler bêtes et matériel, fait le tour des hommes. Satisfait, il s'autorise à grignoter un peu de chocolat, pense à Haji Moussa, boit un coup de flotte. »












 
« Au repas du soir, Pannonique glissa sous la table, de genou en genou, des bâtons de chocolat qui déclenchèrent un enthousiasme pathétique. Les prisonniers mangèrent ce butin avec extase. »











 















 











 













« J'ai fait du café instantané pour nous deux et nous avons emporté nos tasses avec un paquet de biscuits au chocolat dans  ma chambre. »












 
 
  
« Un peu plus tard, sa mère se lève, allume la radio dans la cuisine, prépare un moelleux au chocolat.
- Le gâteau vous attend, dit-elle en entrant dans la chambre de Lucilla où nous sommes en train d'écouter de la musique. Chocolat vanille, comme tu l'aimes, Rebecca. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
« La surprise dans l’œuf en chocolat, poursuivit John en souriant. Le météore était en réalité une sorte de prison dans laquelle avait été enfermée la créature. »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 




« Le bâtiment n'était pas récent, la moquette dans le couloir était un peu usée, mais il était assez gai et on percevait une odeur subtile - et appétissante - de gâteau au chocolat… Peut-être que quelqu'un était en train d'en faire cuire un. »

 










 

« Il me tarde d’apprécier la teneur de ma chance par moi-même, de me lever chaque matin avec un défi à relever, quelque chose d’autre que la fumée d’un doux chocolat chaud pour me mettre quelques coups de pied au cul. »












BILAN : 50 chocolats découverts dans mes lectures ces 6 derniers mois : 40 dans des romans et recueils de nouvelles, 10 dans des BD / mangas.






 

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