Auteur : Sylvain Escallon
Titre : Les zombies n'existent pas
Editeur / Collection : Sarbacane / BD
Nombre de pages : 120
Date de parution : Novembre 2013
Résumé :
Piquier tue. Il tue dans les villes – Rouen, St Brieuc, Paris… Il tue sans logique apparente. Mais il tue toujours selon le même rituel : une victime anonyme, un doigt coupé et un signe cabalistique tracé au sang, sur un mur.
Pourquoi ? Il l’ignore lui-même. C’est « la voix » dans sa tête qui le force à agir, interférence spectrale lui chuchotant ses consignes, comme des mélopées de cauchemar.
De son côté, l’inspecteur Kowalski enquête. Accumulant les indices, il dessine peu à peu le portrait-robot de son suspect – un raté, licencié de la vie, broyé dans les rouages de la matrice… jusqu’à ce qu’un nouveau rebondissement l’arrête : Piquier est mort depuis un an exactement !…
Pourquoi ? Il l’ignore lui-même. C’est « la voix » dans sa tête qui le force à agir, interférence spectrale lui chuchotant ses consignes, comme des mélopées de cauchemar.
De son côté, l’inspecteur Kowalski enquête. Accumulant les indices, il dessine peu à peu le portrait-robot de son suspect – un raté, licencié de la vie, broyé dans les rouages de la matrice… jusqu’à ce qu’un nouveau rebondissement l’arrête : Piquier est mort depuis un an exactement !…
Critique :
Adaptation du roman Lazarus d’Emanuel Dadoun paru aux éditions Sarbacane en 2010, Les zombies n'existent pas est la première bande dessinée publiée par un tout jeune scénariste / dessinateur, Sylvain Escallon.
L'intrigue est très prenante, on ne s'ennuie pas une seconde. Le rythme de l'histoire est tantôt lent, tantôt rapide, les rebondissements nombreux, le fait de passer du point de vue de l'inspecteur Kowalski à celui du tueur est très intéressant. On se laisse porter par le style de l'auteur, dont les masses d'encre noire traduisent bien l'ambiance sombre et angoissante qui se dégage de l'histoire...
Habituellement, je ne suis pas trop fan de ce genre de dessins, mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier la bande dessinée... qui m'a donné envie de découvrir le roman dont elle est tirée.
Habituellement, je ne suis pas trop fan de ce genre de dessins, mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier la bande dessinée... qui m'a donné envie de découvrir le roman dont elle est tirée.
Voici des exemples du style de Sylvain Escallon :
Source : http://editions-sarbacane.com/les-zombies-nexistent-pas/ |
Dédicace de l'auteur. Festival Sang d'encre de Vienne, 17 novembre 2013. |
Note :
7,5/10.